ï»żBrefsrĂ©sumĂ©s des analyses de des faits de sociĂ©tĂ© en AmĂ©rique latine et en Espagne. en marge des partis politiques qu'ils jugent corrompus. Le BrĂ©sil secouĂ© par les fils rebelles de Lula et Dilma Mercredi 19 juin 2013 (LatinReporters.com) - Contre le coĂ»t du Mondial-2014 de football (15 milliards de dollars), contre l'insuffisance

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\n \n\nmode de vie des artistes en marge de la société
Moinsde 500 500 - 1000 1000 - 2000 2000 - 5000 5000 - 10000 Plus de 10000; Autres supports. Collages Gravures & estampes Arts numĂ©riques Design Art textile Artistes. Peintres Photographes Sculpteurs Dessinateurs Tous les artistes; Galeries d'art; Foires et salons d'art; Collections exclusives Image tirĂ©e des Noces Rebelles 2008 de Sam Mendes, dans lequel Leonoardo Di Caprio incarne un personnage tentant, en vain, de se mettre en marge de la sociĂ©tĂ©. La marge, taboue du XXIĂšme siĂšcle ? Marge commerciale, vie en marge, ne pas Ă©crire dans la marge » ; tout nous ramĂšne Ă  une vision pessimiste et nĂ©gative du concept. Pourtant, le latin margo, marginis dont il est issu signifie bord, bordure », attĂ©nuant dĂ©jĂ  l’aversion que nous pouvons en avoir. Si vivre Ă  la marge semble proscrit, commençons Ă  vivre de la marge, avec elle, peut-ĂȘtre en elle. En marge du monde Être considĂ©rĂ© Ă  la marge, marginal mĂȘme, sonne comme une insulte avilissante aux oreilles de la majoritĂ© de nos contemporains. Mal, peu ou pas insĂ©rĂ©s dans la sociĂ©tĂ©, les marginaux sont doublement relĂ©guĂ©s hors du monde ; du fait de leur condition liĂ©e Ă  la drogue, au hasard de la vie, mais aussi d’autres raisons bien plus banales mais aussi du qualificatif qui leur est doucement attribuĂ©. Ce sont les fameux outsiders, ou encore les dĂ©viants, vivant loin de la norme, hors normes. Si la norme est la moyenne de la sociĂ©tĂ© la normalitĂ© donc, prenons la tangente urgemment. Il n’y a rien de plus inquiĂ©tant, de castrateur ou d’aliĂ©nant que d’imager que l’on est, agit ou pense comme la moyenne. Non pas par mĂ©pris ou misanthropie, mais parce que la norme comme la moyenne n’existent pas elles sont des crĂ©ations de l’esprit pour tenter de saisir une rĂ©alitĂ©. La moyenne et la norme ne sont pas des entitĂ©s sociales, elles essaient d’agrĂ©ger des comportements, des profils et des pensĂ©es pour mieux les comprendre. Ainsi, la sentence ce n’est pas normal devrait prendre un sens poĂ©tique Ă  nos oreilles, nous satisfaisant que l’autre reconnaisse en nous une vivacitĂ© d’esprit et d’action qui nous rend unique. Être en marge n’est qu’ĂȘtre Ă  la pĂ©riphĂ©rie. La moyenne n’est que le point central qui permet de ne pas trop s’éloigner de la majoritĂ©, de la reprĂ©senter. Elle n’est pas un idĂ©al Ă  atteindre et surtout pas une identitĂ©. La marge est en rĂ©alitĂ© un appel Ă  dĂ©sobĂ©ir, Ă  affirmer sa singularitĂ© et son identitĂ© dans un monde contemporain qui se plait Ă  normaliser, consigner, massifier. Paradoxalement, c’est contre l’isolement et la perte de repĂšres que la marge se bat. En dĂ©fiant la normalitĂ© et la banalitĂ©, la marge nous impose Ă  repenser le monde. Rien ne doit ĂȘtre normal, habituel, attendu c’est l’imprĂ©visibilitĂ© et l’irrĂ©versibilitĂ© qui fondent l’Homme et le monde. Ce sont donc la dĂ©sobĂ©issance civile, la rĂ©volte intellectuelle, la volontĂ© de penser qui Ă©mergent grĂące Ă  la marge. La marge, une libertĂ© C’est ainsi que la marge devient une libertĂ©. D’aliĂ©nante parce que contrainte reprenons l’exemple des marginaux qui, souvent, subissent l’isolement et la perte des liens sociaux, la marge devient libĂ©ratrice parce que choisie, dĂ©libĂ©rĂ©e et souhaitĂ©e elle devient un espace dans lequel peut s’exercer quelque chose » CNRTL. Alors que la sociĂ©tĂ© semblait avoir créé une sphĂšre unique dans laquelle nous devons Ă©voluer, de grĂ© ou de force, sacrifiant sur l’autel de la vie sociale notre vie privĂ©e ; la marge vient nous donner une bouffĂ©e d’oxygĂšne, nous autorisant Ă  sortir de la sociĂ©tĂ©. En calibrant notre libertĂ©, en lui donnant un pĂ©rimĂštre plus ou moins permĂ©able, la marge vient la dĂ©cupler. La plus haute dĂ©finition de la LibertĂ© est celle qui ne nous Ă©chappe pas l’autonomie et la responsabilitĂ©, deux piliers fondateurs de la LibertĂ©, ont besoin d’évoluer au sein d’un cadre pour pleinement se dĂ©ployer. Ainsi, les marges de tolĂ©rance ou d’erreur sont bien plus qu’une dĂ©viance acceptĂ©e dans une vie millimĂ©trĂ©e. Elles sont la porte ouverte sur un autre monde, qu’il nous suffit de passer pour le connaĂźtre. La marge tolĂ©rĂ©e laisse l’imprĂ©visible se glisser dans notre vie, il faut alors se prĂ©cipiter pour l’embrasser et ne plus jamais le laisser s’évanouir. Doucement, s’immisce le chaos dans notre vie, nous rendant encore plus vivants et humains. L’expression avoir de la marge, en tant que latitude accordĂ©e, couronne la prise de conscience de nos sociĂ©tĂ©s. Il s’agit de quitter le tout-contrĂŽle pour autoriser l’erreur et l’échec. La marge devient un jeu entre les limites, parfois mĂȘme avec les limites ; dĂ©ferlant notre dĂ©sir, tel un moteur vital. A la marge, l’intime La marge, en effet, joue avec toutes les limites. Les limites lĂ©gales, politiques, sociales, mais aussi spirituelles, corporelles et sentimentales. Initialement, la marge Ă©tait imaginĂ©e telle un espace situĂ© sur le pourtour externe immĂ©diat de quelque chose » ou encore un espace laissĂ© entre la limite de deux choses se cĂŽtoyant ». Oui, la marge nous rapproche de l’intime, interrogeant la place de la limite entre deux corps, deux Ăąmes ; mais questionnant Ă©galement ce qu’est le pourtour externe immĂ©diat dans un duo. Pourtant, ĂȘtre Ă  la marge, pourrait-on dire, revient Ă  ĂȘtre Ă  l’écart. Encore une fois, l’écart fait frissonner, rimant avec exclusion, retrait du monde et perte d’identitĂ© ; mais aussi rejet de l’autre. Non, affirme François Jullien c’est par Ă©cart, en le dĂ©tachant du proche, du semblable, de l’apparent Ă©quivalent, qu’on voit poindre enfin un autre qui soit autre ». Autrement dit, c’est en mettant Ă  la marge l’Autre qu’il devient Lui, qu’il existe. PlacĂ© Ă  la marge, l’Homme se met Ă  exister parce que lui est laissĂ©e une latitude pour ĂȘtre. NĂ©anmoins, convenons que la frontiĂšre est fine entre une marge bĂ©nĂ©fique, celle qui permettra Ă  l’Autre d’ĂȘtre Lui afin de me revenir dans une folie intime ; et une marge mortifĂšre, qui gĂšle l’humanitĂ© en l’Autre parce que niĂ© dans son individualitĂ©. C’est encore une fois chez Jullien que l’on trouvera la solution rencontrer, c’est se laisser dĂ©border et dĂ©porter par l’Autre, commencer de lever la barriĂšre d’avec lui ». Seule la rencontre, le regard posĂ© sur l’Autre, lui fera connaĂźtre une marge bĂ©nĂ©fique. Et rĂ©ciproquement. Conclusion Traiter de la marge sans penser Ă  l’édition serait finalement une erreur. En effet, la premiĂšre des marges aurait pu ĂȘtre celle de l’ouvrage ou du monde de l’édition. Les dĂ©finitions de la marge nous le rappellent entre l’ espace vierge laissĂ© entre le pourtour de ce qui est imprimĂ© texte, gravure et le bord de la page » et l’ espace vierge laissĂ© Ă  droite du recto et Ă  gauche du verso d'une page imprimĂ©e et gĂ©nĂ©ralement Ă  gauche d'une page manuscrite » CNRTL. La premiĂšre fois que l’on croise une la ? marge, c’est dans un ouvrage. Elle nous apporte confort de lecture, laissant parfois pour certains d’entre nous la possibilitĂ© d’annoter les quelques lignes placĂ©es sous notre regard. La marge amĂ©liore aussi notre Ă©criture, nous donnant droit Ă  l’erreur et Ă  la correction. La marge d’un livre, que l’on soit auteur ou lecteur, est cet espace immaculĂ© qui vient entourer, respectivement, le fruit de notre production ou de notre dĂ©sir. Cette marge blanche nous laisse le droit de rĂȘver, de penser le monde diffĂ©remment, de nous identifier Ă  ces personnages, de nous transporter sur les lieux de leur action, de nous oublier dans les majestueuses descriptions. Elle nous ramĂšne aussi Ă  la raison, lorsque la marge disparaĂźt. Les derniĂšres pages du livre sont blanches, ne laissant plus Ă  la marge la possibilitĂ© d’exister. Brutalement, aprĂšs des milliers de mots qui nous transportaient en mĂȘme temps hors et dans le monde, nous voici ramenĂ©s Ă  la dure rĂ©alitĂ©. En poursuivant la mĂ©taphore Ă©ditoriale, l’on pourrait dire que la lecture et l’écriture sont entourĂ©es par la marge. En rĂ©alitĂ©, elles forment la marge dont nous avons besoin, si la marge est l’ extension de quelque chose au-delĂ  des limites normalement nĂ©cessaires, requises ou prĂ©vues » CNRTL. Oui, la lecture Ă©tire le temps et l’espace de notre vie plus loin que nĂ©cessaire, alors que nous n’avons pas besoin de lire pour vivre. La marge dĂ©fait le nĂ©cessaire et le prĂ©vu, et injecte une dose de contingence et d’imprĂ©visibilitĂ© dans nos vies. C’est la lecture qui vient frapper notre conscience, comme pour rĂ©veiller notre Ăąme de contemplateur, d’esthĂšte et de rĂȘveur. La facultĂ© d’imagination, conduisant Ă  la comprĂ©hension et au jugement, est le symbole de la pluralitĂ©, du commencement et de l’irrĂ©versibilitĂ© ; bref de l’HumanitĂ© chez Arendt. Il n’y a rien de plus magistral que d’imaginer. Or, cette facultĂ© est prĂ©cisĂ©ment exercĂ©e par l’écriture et la lecture. Un homme, un jour, lira. Et puis tout recommencera. Nous l’espĂ©rons avec vous, Madame Duras en 1985. Guillaume Plaisance Topic des gens qui ont pour projet de vivre en marge de la sociĂ©tĂ© ? du 11-10-2020 20:22:46 sur les forums de jeuxvideo.com

français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche margins of society fringes of society edge of societyfringe of society margin of society periphery of society outskirts of society marginalised in society isolated from society alienated from society Suggestions Cette rĂ©duction a influencĂ© en particulier les segments de la population vivant Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. This reduction influenced in particular the segments of the population living on the margins of society. Avec un bĂ©bĂ© sur les bras, nous avons vĂ©cu Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© jusqu'Ă  l'annĂ©e 1980. Les nĂ©onazis descendent fiĂšrement dans la rue, sĂ»rs de leur impunitĂ©, se prĂ©sentent Ă  des postes politiques et passent peu Ă  peu de la marge de la sociĂ©tĂ© au statut de courant dominant - avec des consĂ©quences mortelles pour les minoritĂ©s. Neo-Nazis are proudly and boldly taking to the streets, running for political office, and gradually being elevated from the fringes of society to the mainstream - and it is having deadly consequences for minority communities. Des personnages excentriques vivant Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©, dans une ignorance bĂ©ate ou dans une dĂ©viance diabolique. Eccentric figures walking on the edge of society, either in blissful ignorance or devilish deviance. Mais toujours dit Mungo de la marge de la sociĂ©tĂ©, de la position des exclus, marginalisĂ©s. But always Mungo told from the edge of society, from the position of the excluded, marginalized. Coal to diamonds est mon histoire - grandir en sentant que vous ĂȘtes dans la marge de la sociĂ©tĂ© et en vous battant pour trouver votre place. Coal to Diamonds is my story - growing up feeling like you are on the margins of society and struggling to find your place. Le ton volontiers lĂ©ger et confiant des organisateurs sera une façon d'accĂ©der Ă  tous ceux qui se pensent comme Ă©tant Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. The deliberately light-hearted and confident tone of the event will be a way to reach out to those who think of themselves as being on the margins of society. L'Ă©crivain George Orwell a vĂ©cu dans les rues de Londres pour dĂ©couvrir la vie des personnes qui vivent Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. The writer, George Orwell, lived on the streets of London to discover what it was like for those on the margins of society. Par consĂ©quent, ils dĂ©rivent souvent vers la marge de la sociĂ©tĂ© oĂč ils mĂšnent une vie dans l'anonymat. Because of this, they often drift to the margins of society where they live an anonymous life. L'urbanisation et l'industrialisation croissantes ont relĂ©guĂ© ces personnes Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© oĂč ils sont devenus des assistĂ©s sociaux, et des sĂ©dentaires contraints d'accepter des emplois imposĂ©s et de scolariser leurs enfants. Increasing urbanization and industrialization had pushed those people to the margins of society, where they had become dependent on social assistance and were forced, in their sedentary situation, to accept work and to send their children to school. Le vĂ©lo, c'Ă©tait un mode de dĂ©placement pour les pauvres ou pour les Ă©colos un peu fous, les personnes qui l'utilisaient avaient vraiment besoin de sentir qu'ils n'Ă©taient pas Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© et de lĂ©gitimer cet usage. Cycling was a mode of transport for the poor or slightly mad eco-warriors. Cyclists, however, had a real need to feel they weren't on the margins of society and to legitimise their use of bikes. En matiĂšre d'emploi, nous devons aboutir Ă  la pleine Ă©galitĂ© des chances, combattre l'exclusion sociale, soutenir ceux qui sont Ă  la traĂźne, ceux qui vivent dans des situations dĂ©favorisĂ©es et ceux qui ont Ă©tĂ© repoussĂ©s Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. In employment, we must achieve full equality of opportunities, combat social exclusion, support those who lag behind, those in disadvantaged situations and those who have been forced onto the edges of society. Pour les personnes handicapĂ©es, trouver un emploi est particuliĂšrement difficile et la stigmatisation dont elles sont parfois victimes a pour effet de les relĂ©guer Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. Employment is particularly difficult for persons with disabilities, and the stigma sometimes associated with disabilities results in their relegation to the margins of society. Avec les silhouettes de passants dĂ©sormais Ă  peine esquissĂ©es, c'Ă©tait un peu comme s'il voulait conjurer ses premiĂšres annĂ©es de photographe consacrĂ©es Ă  nous montrer, au plus prĂšs et bien de face, des gens vivant Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. With their barely sketched silhouettes of passers-by, it was a little as if he were trying to move away from his first years as a photographer, which had been dedicated to showing us, up-close and in-our-face, people living on the margins of society. En gĂ©nĂ©ral ce sont des enfants de rues ou encore des Nawars [peuple nomade vivant Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© en Syrie, au Liban et en Jordanie.] In general, they are street children or even Nawads [a term for nomadic people who live at the edges of society in Syria, Lebanon, and Jordan.] Ils adoptent des comportements qui les placent Ă  la marge de la sociĂ©tĂ©. Les deux ont Ă©voluĂ© du marge de la sociĂ©tĂ©. 20 je ne sais pas quel terme pourrais-je utiliser, mais qu'ils se trouvaient 21 au marge de la sociĂ©tĂ©. 23 know what term to use, but quite simply they were pushed to the margins. La vie quotidienne des BrĂ©siliens Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© devient une mise en scĂšne photographique rĂ©ussie grĂące aux qualitĂ©s esthĂ©tiques de l'artiste. The everyday life of marginal Brazilian society is put in a photographic scene with the attention to detail and esthetics of the artist. La dĂ©claration Ă©tablit un parallĂšle entre la persĂ©cution passĂ©e de non-conformistes anabaptistes et les groupes mis Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© actuelle. The statement draws parallels between past persecution of Anabaptist nonconformists and marginalized groups on the fringes of today's society. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 32. Exacts 32. Temps Ă©coulĂ© 336 ms. 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Voici la rĂ©ponse Ă  la question de CodyCross - Aussi appelĂ©e Ă©toile filante. Si vous avez besoin d'aide ou avez des questions, laissez votre commentaire ci-dessous. Home Saisons Groupe 76 Phase 4 RĂ©pondre Mode de vie des artistes en marge de la sociĂ©tĂ© Mode de vie des artistes en marge de la sociĂ©tĂ© RĂ©pondre BohĂšme CodyCross CodyCross est un jeu rĂ©cemment sorti dĂ©veloppĂ© par Fanatee. C’est un jeu de mots croisĂ©s qui contient de nombreux mots amusants, sĂ©parĂ©s en diffĂ©rents mondes et groupes. Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planĂšte Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. pouvaitpas imposer ses vertus et son mode de vie. C’est l’époque d’une naissance de l’hostilitĂ© trĂšs forte des artistes et des Ă©crivains Ă  la nouvelle sociĂ©tĂ©. Un certain nombre de caractĂ©ristiques de la sociĂ©tĂ© bourgeoise « gĂ©nĂšrent l’exaspĂ©ration et la plainte de ses contemporains ». Un des premiers soins du gouvernement est le « remaniement complet Les personnes Ă  haut potentiel ont un cerveau qui fonctionne Ă  plein rĂ©gime, une sensibilitĂ© exacerbĂ©e, et une impression de vivre perpĂ©tuellement en marge. Et si cette diffĂ©rence nourrissait la sociĂ©tĂ© de demain ? PubliĂ© le 17/12/2014 Ă  1116 Temps de lecture 8 min Le cerveau d’un HP est en Ă©bullition permanente. Les IRM effectuĂ©es sur ces personnes confirment cette forte activitĂ©, avec une multitude de connexions neuronales qui se traduisent par une pensĂ©e en arborescence une idĂ©e en entraĂźnant une autre, puis une autre... Alors que chez les non-HP, seule une zone spĂ©cifique du cerveau s’anime par fonction, par exemple celle du langage pour traiter une information. Chez le surdouĂ©, penser, c’est vivre. Il n’a pas le choix. Il ne peut arrĂȘter cette pensĂ©e puissante, incessante qui, sans relĂąche, scrute, analyse, intĂšgre, associe, anticipe, imagine, met en perspective
 Aucune pause. Jamais. Alors, il pense sur tout, tout le temps, intensĂ©ment. Avec tous ses sens en alerte, explique la psychologue et auteur de livres sur le sujet, Jeanne Siaud-Facchin 1. C’est un petit vĂ©lo qui tourne sans cesse dans la tĂȘte. J’ai toujours vĂ©cu Ă  cent Ă  l’heure, en utilisant ce petit vĂ©lo au maximum, ce qui m’a permis de crĂ©er mon Ă©cole, confirme VĂ©ronique Meunier, 49 ans, qui a rĂ©ussi Ă  rĂ©aliser ses rĂȘves malgrĂ© les critiques dont elle a fait l’objet. Il y a vingt ans, elle a donc créé Les Ateliers de la Chaise Musicale, une Ă©cole de musique bruxelloise, caractĂ©risĂ©e par sa pĂ©dagogie diffĂ©rente, davantage axĂ©e sur des activitĂ©s ludiques et crĂ©atives que sur un apprentissage basĂ© sur la compĂ©tition. L’école proposant aussi un Ă©veil musical dĂšs l’ñge de 7 mois. On me disait qu’un bĂ©bĂ© n’en avait rien Ă  faire de la musique, que je faisais cela pour l’argent, que c’était dĂ©lirant. Et moi, j’étais convaincue qu’il s’agissait d’un moyen de renforcer les liens parents-enfants et d’un bĂ©nĂ©fice Ă  apporter aux petits. Penser sur le mode WikipĂ©dia Cette arborescence de la pensĂ©e, c’est comme WikipĂ©dia, explique encore la directrice de la Chaise Musicale. Je consulte le site pour comprendre un mot ou un Ă©vĂ©nement, comme le krach boursier, et je me retrouve dans le fin fond de l’Australie dans les annĂ©es 60, sans savoir comment j’y suis arrivĂ©e. Ce sont des hyperliens sur tout et c’est comme ça dans ma tĂȘte Ă©galement. La comparaison avec la plateforme de cette encyclopĂ©die participative en ligne est Ă©difiante. Les cerveaux des HP tournent non seulement Ă  plein rĂ©gime, mais ils crĂ©ent aussi une multitude de liens entre les choses, que d’autres ne perçoivent pas forcĂ©ment. Avec une difficultĂ© qui consiste quelquefois Ă  expliquer aux non-HP ce qu’ils perçoivent comme Ă©vident. CĂŽtĂ© bonus, il s’agit d’un moteur qui leur permet d’ĂȘtre extrĂȘmement crĂ©atifs, innovants et de se surpasser. Quel est le bĂ©nĂ©fice de cette diffĂ©rence ? Une capacitĂ© Ă  pouvoir travailler plus vite et facilement sur diffĂ©rents sujets Ă  la fois. Cela me permet de produire plus au niveau professionnel. Mais je suis aussi trĂšs attentif Ă  des dĂ©tails que d’autres ne perçoivent pas forcĂ©ment, avec une capacitĂ© Ă  m’émerveiller facilement et un besoin de trouver sans cesse de nouvelles idĂ©es. J’ai tendance Ă  un peu charger la barque pour ne pas m’ennuyer, explique Serge Ruyssinck, 48 ans, qui cumule son job de rĂ©alisateur Ă  la RTBF Ă  la gestion d’évĂ©nements pour la chaĂźne et Ă  des prestations pour Eurosport, Ă  Paris. Une sensibilitĂ© accrue Il y a quelques annĂ©es, Serge Ruyssinck a poussĂ© la porte d’un centre d’évaluation des personnes Ă  haut potentiel, parce qu’il se rendait compte de sa mauvaise gestion Ă©motionnelle, particuliĂšrement dans sa vie privĂ©e. GuĂšre Ă©tonnant l’hypersensibilitĂ© est l’une des caractĂ©ristiques de cette diffĂ©rence. Avant, je me laissais submerger par mes Ă©motions. Je n’acceptais pas que les autres soient moins rapides que moi, cela m’irritait lorsqu’on ne comprenait pas vite ce que je racontais, confie le rĂ©alisateur, qui estime s’ĂȘtre “ assagi ” en saisissant mieux les diffĂ©rences comportementales et Ă©motionnelles propres aux HP. Aujourd’hui, son sens de l’empathie lui permet d’ĂȘtre Ă  l’écoute de ses collaborateurs au niveau professionnel, mais aussi dans ses relations amicales. Un atout, selon lui. Mais pour en arriver lĂ , il faut parfois avoir fait du chemin. J’étais quelqu’un de trĂšs empathique, une Ă©ponge Ă  Ă©motions, je ressentais la souffrance d’autrui, mĂȘme s’il ne l’exprimait pas, explique de son cĂŽtĂ© VĂ©ronique Meunier, rĂ©vĂ©lĂ©e HP dans la foulĂ©e d’une demande de diagnostic pour son petit garçon. Depuis que j’ai pris conscience que cette sensibilitĂ© fait partie des spĂ©cificitĂ©s des HP, j’ai rĂ©ussi Ă  dĂ©velopper des mĂ©canismes de protection et ça, c’est extraordinaire, car je prends moins sur moi, avoue-t-elle. PrĂ©curseurs du monde de demain ? En dehors des politiciens ou artistes en tout genre, que deviennent les HP Ă  l’ñge adulte et qu’apportent-ils de diffĂ©rent Ă  la sociĂ©tĂ© ? Tout dĂ©pend de l’ñge de leur diagnostic. Lorsqu’ils prennent conscience de leur altĂ©ritĂ© cognitive et qu’ils l’acceptent, ils passent gĂ©nĂ©ralement par une phase de reconstruction de leur personnalitĂ© et rĂ©alisent alors de grandes choses dans leur domaine de prĂ©dilection. La rĂ©vĂ©lation de leur douance joue souvent un rĂŽle de catalyseur identitaire, ce qui leur permet d’avancer et d’entreprendre. Une personne Ă  haut potentiel qui assume sa diffĂ©rence va ĂȘtre Ă  l’avant-garde de la crĂ©ation, de la recherche, de l’innovation et des idĂ©es. Pour ĂȘtre crĂ©atif, donc ne pas refaire systĂ©matiquement tout ce que les autres font, il faut ĂȘtre un peu rebelle et avoir un sens critique fort dĂ©veloppĂ©, ne pas croire tout ce que l’on nous dit. Le monde avance grĂące Ă  ces personnes aux idĂ©es hors du commun, qui voient des problĂšmes lĂ  oĂč les autres n’en voient pas et qui imaginent des solutions. Les HP sont des gens qui veulent faire avancer le monde ou, au minimum, apporter leur pierre Ă  l’édifice, y compris dans les domaines les plus anonymes. Mais ne nous cachons pas il y a des “ nids Ă  HP ”, notamment dans les milieux artistiques et mĂ©diatiques. La plupart des gens connus le sont, explique Thierry Biren. QI Ă©levĂ© et HP, quelle diffĂ©rence ? Les HP sont-ils des surdouĂ©s ? Ont-ils tous un QI plus Ă©levĂ© que la moyenne ? Selon le coach de l’association Douance, toutes les personnes dont le QI dĂ©passe le score de 128 sont HP. Mais ce ne serait pas la caractĂ©ristique la plus importante Ă  prendre en considĂ©ration, car ce test d’intelligence trĂšs classique a Ă©tĂ© créé il y a un siĂšcle pour servir de rĂ©fĂ©rence en la matiĂšre. Il peut s’avĂ©rer rĂ©ducteur et finalement laisser passer des HP entre les mailles du filet normatif. Une personne qui aurait 125 de QI sera par exemple exclue du diagnostic classique, alors que ces quelques points de diffĂ©rence ont quelque chose d’artificiel, puisqu’il s’agit d’une Ă©chelle Ă©tablie au siĂšcle dernier !, explique le coach. Cela ne signifie pas que cette personne n’est pas HP. C’est pourquoi je prĂ©fĂšre utiliser les tests qualitatifs pour Ă©tablir mon diagnostic. L’image que l’on se fait du surdouĂ© Ă  lunettes qui rĂ©ussit ses Ă©tudes haut la main ne correspondrait finalement qu’à un tiers des HP. Ce sont gĂ©nĂ©ralement ceux qui sollicitent davantage leur cerveau gauche, axĂ© sur le langage, le raisonnement et l’analyse, alors que le cerveau droit que deux tiers des HP sollicitent en premier est associĂ© aux Ă©motions, Ă  l’intuition et Ă  la crĂ©ativitĂ©. La personne ĂŒber-intelligente et efficace serait, en revanche, celle qui mobilise autant son hĂ©misphĂšre droit que le gauche avec, dans un premier temps, le dĂ©bridement de la crĂ©ativitĂ© qui s’enclenche, puis dans un second temps, la capacitĂ© d’exĂ©cuter point par point qu’elle a imaginĂ©. C’est pour cela qu’il y a des juristes au Parlement qui font passer les propositions de lois imaginĂ©es par des politiciens dix ans auparavant !, commente Thierry Biren. Dans la pratique, la plupart des femmes et hommes politiques sont HP, d’oĂč les dĂ©bats houleux qui les opposent, car ils ont forcĂ©ment des idĂ©es diffĂ©rentes qu’ils veulent dĂ©fendre. Par rapport Ă  cette guĂ©guerre sur la place Ă  accorder aux tests de QI, la psychologue Jeanne Siaud-Facchin prĂ©cise que l’on confond souvent l’intelligence et la performance, les compĂ©tences et la rĂ©ussite, ainsi que le potentiel et l’efficacitĂ© intellectuelle. Alors que selon elle, ĂȘtre HP Ă©quivaut avant tout Ă  un comportement psychoaffectif particulier et Ă  une intelligence diffĂ©rente des autres. La vie en dĂ©calĂ© Beaucoup de HP vous le diront ils se sont toujours sentis en dĂ©calage par rapport aux autres, ce qui n’est pas forcĂ©ment facile Ă  vivre. Du coup, certains ont dĂ©veloppĂ© un “ faux-self ”, c’est-Ă -dire une adaptation de leur identitĂ© profonde pour se fondre dans la masse. Un effet camĂ©lĂ©on, inhibiteur de leur douance et souvent mal vĂ©cu
 J’étais en dĂ©calage permanent avec tout le monde et la sociĂ©tĂ©. Pour moi, haut potentiel rimait avec hautement perturbĂ©e ! Une impression d’ĂȘtre “ trop ” dans tout et que les choses n’étaient jamais simples avec moi. J’avais la volontĂ© de ne pas rentrer dans le rang, de ne pas rester prof dans le secondaire ou Ă  l’acadĂ©mie, de ne pas obĂ©ir Ă  des programmes qui ne me plaisaient pas, de pouvoir les crĂ©er moi-mĂȘme. Je n’étais pas consciente que je faisais cela parce que suis HP, mais je savais que je voulais faire les choses autrement, explique VĂ©ronique Meunier. Des annĂ©es plus tard, son Ă©cole ne dĂ©semplit pas. Elle avait vu juste ! Et comme un zeste d’utopie ne fait jamais de mal, on peut se demander si le monde actuel ne serait pas en train de fonctionner un peu plus qu’auparavant selon des caractĂ©ristiques propres Ă  l’hĂ©misphĂšre droit de notre cerveau, qui se traduisent actuellement par une envie croissante de changement sociĂ©tal, une dissĂ©mination de pratiques faisant appel Ă  l’intelligence collective et Ă  une dĂ©brouille crĂ©ative ? Certainement !, atteste Thierry Biren. J’irais mĂȘme plus loin en rappelant que nous vivons dans un monde de plus en plus visuel, grĂące aux nouveaux mĂ©dias. On fait donc aujourd’hui davantage appel Ă  des parties de notre intelligence que nous possĂ©dions dĂ©jĂ , mais qui n’étaient pas autant sollicitĂ©es auparavant. Seul petit bĂ©mol cette Ă©volution n’est pas assez rapide pour ceux qui doivent encore s’adapter Ă  un monde dont la logique de fonctionnement reste malgrĂ© tout celle de l’hĂ©misphĂšre gauche, de l’organisation et de la rationalitĂ© efficace
 Une question de temps ? 1 Auteure de plusieurs livres sur la douance, dont “ Trop intelligent pour ĂȘtre heureux ? L’adulte surdouĂ© ”, Ă©d. Odile Jacob, 2012, 320 p., 23,20 €. Le fil info La Une Tous Voir tout le Fil info Allez au-delĂ  de l'actualitĂ© DĂ©couvrez tous les changements DĂ©couvrir À la Une Entretien Caroline DĂ©sir L’école aujourd’hui c’est bien plus qu’une histoire d’enfants rois» Par Eric Burgraff et Charlotte Hutin Guerre en Ukraine Zelensky rĂ©clame la venue de l’AIEA Ă  la centrale de Zaporijjia Une camionnette fonce sur une terrasse Ă  Bruxelles un dĂ©sastre frĂŽlĂ© de quelques centimĂštres Par Arthur Sente et Louis Colart Europa League l’Union Saint-Gilloise lancera sa campagne Ă  Berlin le 8 septembre Energie la taxation des surprofits toujours dans les limbes Par Jean-François Munster Pessimistes, cinq banques abaissent leurs prĂ©visions de croissance pour la Belgique
Lephotographe Antoine Bruy est parti Ă  la rencontre de ceux qui ont choisi de vivre en marge des villes et de leurs fracas. C’est autant une sĂ©rie de portraits que le carnet de bord d’une
L’ARTISTE DANS LA SOCIÉTÉ Parmi les nombreuses dĂ©finitions de l’artiste, je retiens celle de l’Unesco selon laquelle on entend par artiste toute personne qui crĂ©e ou participe par son interprĂ©tation Ă  la crĂ©ation ou Ă  la recrĂ©ation d'Ɠuvres d'art, qui considĂšre sa crĂ©ation artistique comme un Ă©lĂ©ment essentiel de sa vie, et qui, ainsi, contribue au dĂ©veloppement de l'art et de la culture, qui est reconnue ou cherche Ă  ĂȘtre reconnue en tant qu'artiste, qu'elle soit liĂ©e ou non par une relation de travail ou d'association quelconque. L’artiste est ainsi un individu cultivant ou maĂźtrisant un art, un savoir, une technique, et dont on remarque entre autres la crĂ©ativitĂ©, la poĂ©sie, l'originalitĂ© de sa production, de ses actes, de ses gestes. Ses Ɠuvres sont source d'Ă©motions, de sentiments, de rĂ©flexion, de spiritualitĂ© ou de transcendances. Je trouve intĂ©ressant Ă  ce stade que l’art soit caractĂ©risĂ© par l’émotion, quelle qu’elle soit, que suscite l’Ɠuvre et non pas un simple et subjectif critĂšre de beautĂ©. L’artiste, Ɠuvrant sur l’émotion, a le pouvoir de marquer, d’interpeller, de transformer la vision de celui qui reçoit son Ɠuvre. L’envie de travailler sur ce sujet m’est venue alors que je rĂ©digeais une planche musicale symbolique intitulĂ©e Introduction au symbolisme du piano » dans laquelle je traitais de la forte charge symbolique portĂ©e par cet instrument et expliquais pourquoi les musiques rythmant les temps forts des tenues au sein de ma loge – au sein de laquelle j’ai occupĂ© le poste de M∎ des Colonnes d’Harmonie - Ă©taient autant articulĂ©es autour du piano. Dans le cadre de ce travail j’ai fait l’analogie entre le marteau qui frappe les cordes avec le maillet, et entre la corde elle-mĂȘme et le ciseau. Un ciseau qui travaille sur la pierre pour construire le temps, par extension sur soimĂȘme pour bĂątir son temple intĂ©rieur, tout comme la corde va, via l’ouĂŻe et l’émotion, bĂątir un monument d’architecture musicale mais Ă©galement permettre de travailler sur soi, tailler sa pierre artistique, Ă©motionnelle, et partager ce travail le plus largement possible. Cette pensĂ©e, Ă©largie Ă  la musique puis Ă  l’art en gĂ©nĂ©ral, en a entrainĂ© une autre, basĂ©e sur le fait que si l’artiste agit sur lui-mĂȘme et sur les autres par la pratique de son art, quel peut ĂȘtre, quel doit ĂȘtre son impact, son rĂŽle, sa mission, sa responsabilitĂ©, dans la sociĂ©tĂ© ? Je vois dans l’actualitĂ© de nombreux artistes prendre position sur de nombreux sujets de sociĂ©tĂ©, est-ce lĂ  leur rĂŽle, et si oui dans quelle mesure leur art participe Ă  l’amĂ©lioration de la sociĂ©tĂ© ? Je livre ici une simple premiĂšre pierre de mon travail qui ouvre sur plusieurs questionnements et demande plusieurs phases de rĂ©flexion et de recherche afin de se complĂ©ter ; je souhaite ainsi juste partager les premiĂšres bases sur lesquelles j’espĂšre construire une Ă©tude plus large et documentĂ©e afin d’éclairer sur la place actuelle et Ă  venir de l’artiste. 2 / 6 I. Le statut de l’artiste Ă  travers les Ăąges Je me suis intĂ©ressĂ© Ă  l’ouvrage Vivre de son art histoire du statut de l’artiste, XVe-XXIe siĂšcles » coordonnĂ© par l’historienne AgnĂšs Graceffa, qui rĂ©unit une vingtaine de contributions d’historiens et de sociologues. Partant d’une dĂ©finition contemporaine de l’artiste, il pose des jalons en vue d’une histoire du statut de l’artiste en France du Moyen-Ăąge Ă  nos jours. Ils interrogent concrĂštement les modalitĂ©s et les adaptations inhĂ©rentes Ă  la vie d’artiste et leurs variations dans le temps. L’ouvrage s’organise autour d’un fil chronologique et pointe la diversitĂ© des statuts Ă©conomiques et symboliques suivant les Ă©poques et suivant les arts. Car pour pouvoir s’exprimer, l’artiste doit en premier lieu subvenir Ă  ses besoins et donc vivre de son art. C’est ainsi que dĂšs le moyen-Ăąge de nombreux artistes se placent sous l’égide de protecteurs, tant seigneurs locaux, nobles, couronne royale qu’épiscopat. Ce mouvement s’est poursuivi sous la Renaissance et ensuite avec notamment la prestigieuse famille Medicis, riches marchands et banquiers de Florence qui utilisaient leur fortune pour financer les travaux des Humanistes et commander aux artistes des palais, chapelles & fresques. Il est important de se demander dans quelle mesure un Ă©ventuel lien de subordination vis Ă  vis de ses grands mĂ©cĂšnes peut ou non orienter le sens dans lequel l’artiste rĂ©alise ses Ɠuvres, et quand les frontiĂšres Ă©taient franchies entre crĂ©ation artistique personnelle et spontanĂ©es et rĂ©ponse simple Ă  des commandes d’Ɠuvres obĂ©issant aux seuls souhaits de l’acheteur et faisant appel Ă  la maĂźtrise technique de l’artiste, mais sans se prĂ©valoir d’un message personnel de celui-ci. Sans y ĂȘtre soumis, le message de l’artiste se doit malgrĂ© tout dans une certaine mesure d’ĂȘtre au moins compatible avec la sensibilitĂ© de son protecteur et cette limitation risque de le cantonner au rĂŽle d’artisan, mĂȘme Ă  la technique irrĂ©prochable, que de vĂ©ritable artiste. L’étude de plusieurs biographies montre que parallĂšlement Ă  la rĂ©ponse aux commandes reçues, indispensables Ă  les faire vivre, parallĂšlement aux cours de musique dispensĂ©s en large d’une activitĂ© de compositeur, les grands artistes dĂ©veloppaient toujours des crĂ©ations personnelles non soumises Ă  l’impĂ©ratif de vente et donc non soumises Ă  l’avis d’une tierce personne dans le processus de conception et de crĂ©ation, ces Ɠuvres personnelles ont dans l’ensemble eu droit Ă  une postĂ©ritĂ© bien plus importante que les simples Ɠuvres commandĂ©es. 3 / 6 II. L’artiste en danger permanent La RĂ©volution proclame la libertĂ© du travail et ouvre un XIXe siĂšcle combattif pour les artistes, acculĂ©s Ă  devoir redĂ©finir les contours de leur activitĂ© et les droits affĂ©rents. Leurs luttes ne se soldent pas toujours par des succĂšs. Ainsi, la profession de chorĂ©graphe, reconnue au XVIIIe siĂšcle est-elle dĂ©valorisĂ©e au XIXe. Les musiciens peinent durant tout le siĂšcle Ă  s’imposer comme profession. Le statut d’artiste ne semble enfin, quel que soient les arts, jamais stabilisĂ©. C’est particuliĂšrement vrai en pĂ©riodes difficiles crises, guerres et rĂ©volutions posent frontalement aux artistes la question de leur survie. Mais c’est finalement le lot quotidien et plus insidieux d’une population soumise Ă  de plus en plus de souplesse et de flexibilitĂ© et par consĂ©quent sensible aux moindres alĂ©as Ă©conomiques, gĂ©opolitiques et aujourd’hui climatiques. L’arrivĂ©e de nouvelles technologies et d’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale tout changement dans la sociĂ©tĂ©, rebat les cartes et remet en danger les vocations artistiques – par exemple la profession de photographe qui a d’abord considĂ©rablement dĂ©clinĂ© avec l’arrivĂ©e du numĂ©rique avant de profondĂ©ment Ă©voluer. La dĂ©marche artistique pousse de nombreux crĂ©ateurs Ă  s’impliquer dans un engagement fort, Ă  prendre position, y compris politique, sur l’état et l’évolution de la sociĂ©tĂ©, au risque de se mettre Ă  la marge de la sociĂ©tĂ© ou du pouvoir en place et au risque Ă©ventuel de subir les consĂ©quences nĂ©gatives en cas de rĂ©pression sous des rĂ©gimes autoritaires. L’histoire regorge de nombre d’exemples de livres brĂ»lĂ©s, de tableaux dĂ©chirĂ©s, de bĂątiments dĂ©truits, d’artistes discriminĂ©s, persĂ©cutĂ©s, emprisonnĂ©s et exĂ©cutĂ©s. Se confronter aux limitations de la libertĂ© artistique et libertĂ© d’expression, serait-ce la part d’ombre, un risque indissociable de l’engagement artistique ? L’artiste du XXIe siĂšcle reste encore Ă  inventer, ainsi se conclut et s’ouvre l’ouvrage d’AgnĂšs Graceffa qui souligne le paradoxe du statut actuel de l’artiste, qui en fait Ă  la fois un propriĂ©taire et un salariĂ© Le statut de l’artiste est, dans notre droit, une fiction juridique ; espĂ©rons que l’artiste ne devienne pas une fiction tout court ! ». L’enseignement que je tire de cet ouvrage est que pour faire face Ă  toute forme de pression, l’artiste agit rarement seul, il Ɠuvre le plus souvent en communautĂ©, laquelle peut prendre plusieurs formes associations d’acteurs Ă  la fin du XVe siĂšcle, corporations et ateliers de peinture aux XVIe-XVIIIe siĂšcles, communautĂ© de musiciens du XVIIe au XIXe siĂšcles. C’est ainsi que l’artiste est rarement seul le reflet de son Ă©poque. MĂȘme si certaines figures sont emblĂ©matiques d’un mouvement, leur participation s’intĂšgre Ă  un mouvement plus gĂ©nĂ©ral de courant artistique, reflet d’une philosophie novatrice. 4 / 6 III. L’artiste porteur d’un message original L’insĂ©curitĂ© matĂ©rielle et physique dans laquelle vit l’artiste est une consĂ©quence directe du fait qu’il est en danger parce qu’il pense, parce qu’il a quelque chose Ă  dire, parce qu’il innove. Ce combat, la lutte pour son existence, est un temps prĂ©cieux qui empiĂšte sur son temps de crĂ©ation et en mĂȘme temps l’alimente en ravivant les flammes de son engagement. Les combats des artistes sont souvent prĂ©curseurs des conflits et problĂ©matiques Ă  venir dans la sociĂ©tĂ©. Par exemple le combat pour la place des femmes, avec Clara Schumann pianiste virtuose et extraordinaire compositrice, George Sand et bien d’autres qui ont annoncĂ© les mouvements fĂ©ministes et les avancĂ©es sociales avec la rĂ©duction progressive de certaines inĂ©galitĂ©s et discriminations, un combat toujours d’actualitĂ© et toujours portĂ© par de nombreuses et nombreux artistes qui brisent les codes Ă©tablis. Un autre exemple avec la rĂ©volte d’artistes contre l’esclavage, je pense notamment Ă  Marcel Verdier. Son grand tableau Le chĂątiment des quatre piquets dans les colonies », enregistrĂ© pour une exposition au Salon du Louvre de 1843, dĂ©nonce les traitement subis par les esclaves. L’Ɠuvre est refusĂ©e par le jury, et le dossier conservĂ© aux archives du musĂ©e du Louvre Ă  Paris indique la crainte des autoritĂ©s que le tableau ne soulĂšve la haine populaire contre l’esclavage ». L’artiste se caractĂ©rise ainsi par une grande sensibilitĂ© face au monde qui l’entoure et par la capacitĂ© Ă  retranscrire et Ă  annoncer ce que la sociĂ©tĂ© ne voit, ne ressent pas encore. C’est ce qui le rend incompris – et l’homme a toujours une part de crainte face Ă  ce qu’il ne comprend pas – consĂ©quence directe de sa marginalitĂ©, telle que le dĂ©crit Balzac dans Le CurĂ© de village » en 1841, observant l'ignorance des sociĂ©tĂ©s sur l'origine du gĂ©nie - L'homme de gĂ©nie se rĂ©vĂ©lera toujours en dehors des Ă©coles spĂ©ciales. Dans les sciences dont s'occupent ces Ă©coles, le gĂ©nie n'obĂ©it qu'Ă  ses propres lois, il ne se dĂ©veloppe que par des circonstances sur lesquelles l'homme ne peut rien ni l'État, ni la science de l'homme, l'anthropologie, ne les connaissent. Riquet, Perronet, LĂ©onard de Vinci, Cachin, Palladio, Brunelleschi, Michel-Ange, Bramante, Vauban, Vicat tiennent leur gĂ©nie de causes inobservĂ©es et prĂ©paratoires auxquelles nous donnons le nom de hasard, le grand mot des sots. Quelles que soient ses sources d’inspiration, que son langage et son message soient plutĂŽt consensuels pour des artistes soutenus et protĂ©gĂ©s par l’église ou les Ă©tats conservateurs, ou d’esthĂ©tiques et de contenus franchement subversifs et polĂ©miques pour des personnalitĂ©s plus en marge, l’artiste se dĂ©finit principalement par l’originalitĂ© et la singularitĂ© de son Ɠuvre. 5 / 6 IV. Production & dĂ©rives contemporaines Si historiquement une prĂ©sence physique Ă©tait nĂ©cessaire pour jouir de l’art – musicien sur scĂšne, public dans la salle, tableau accrochĂ© au mur – le monde moderne a profondĂ©ment modifiĂ© ce prĂ©requis avec la dĂ©matĂ©rialisation reprographie, enregistrement, internet, rĂ©seaux sociaux, mondialisation ont permis une trĂšs large diffusion des savoirs et des Ɠuvres. Il n’est donc dĂ©sormais plus indispensable d’ĂȘtre prĂ©sent au concert ou de se rendre physiquement sur le lieu oĂč se trouve la sculpture ou le tableau pour pouvoir en profiter. Mais ce modernisme a Ă©galement induit une financiarisation de la production artistique la mĂȘme Ɠuvre, la mĂȘme performance artistique, peut ĂȘtre vendue plusieurs fois. Dans certains cas la dĂ©rive a Ă©tĂ© de plus s’orienter vers l’aspect strictement production que le seul aspect artistique. J’en veux pour exemple la distinction qui se fait au sein d’un orchestre symphonique qui est dirigĂ© par un chef d’orchestre dont le titre officiel est directeur artistique ou directeur musical’, alors que pour la plupart des maisons de disque et structures d’organisation de concerts, le maĂźtre d’Ɠuvre dispose du titre de producteur. La distinction se fait encore plus fine dans les mĂ©tiers d’arts entre les interprĂštes, salariĂ© & intermittents, qui interprĂštent selon des directives prĂ©cises, ce qui dans ces cas prĂ©cis limite la portĂ©e crĂ©atrice de leur travail. À titre d’exemple, le musicien d’orchestre est il un artiste participant activement Ă  la crĂ©ation ou la recrĂ©ation d’une Ɠuvre ou est-il un exĂ©cutant hyper qualifiĂ©, un artisan de l’art ? Et qu’en est-il des artistes de musique populaire, rock et assimilĂ©s, dont les textes ne sont pas dĂ©nuĂ©s de sens, de profondeur et de valeur, loin de lĂ  – j’en veux pour preuve le dernier prix Nobel de littĂ©rature attribuĂ© pour la premiĂšre fois Ă  un artiste musicien Bob Dylan – qui dĂ©noncent gĂ©nĂ©ralement les mĂ©faits de la sociĂ©tĂ© de consommation et les dĂ©rives des rĂ©gimes totalitaires dans le monde ? Sont-ils tous artistes au sens noble du terme ou pour certains d’entre eux simples exĂ©cutants d’une partition toute tracĂ©e par un producteur et un panel de directeurs marketing ? Ces dĂ©rives se constatent dans la musique, mais aussi dans l’art contemporain art pictural & sculpture ou encore avec le concept de design qui surfe sur les codes de l’art pour vendre des produits. Ces Ɠuvres conceptuelles et volontiers polĂ©miques dont le sens profond interroge, affichent des tarifs prohibitifs fixĂ©s arbitrairement. Ils interrogent sur la finalitĂ© de l’Ɠuvre, si la dĂ©marche est rĂ©ellement artistique susciter la rĂ©flexion, interroger l’époque et les modes pour faire bouger la sociĂ©tĂ©, ou juste financiĂšre en usant des nombreux leviers de dĂ©fiscalisation en faveur de l’art qui s’avĂšrent parfois ĂȘtre plus de la dĂ©fiscalisation pure que de l’art. Mais n’est ce pas le propre de l’art de s’interroger sur lui mĂȘme et donc sur la validitĂ© ou non de son existence, les prix affichĂ©s ne participent t’ils pas Ă  la dĂ©marche artistique globale ? 6 / 6 En conclusion, je ne souhaite pas me placer pas dans une dĂ©marche d’opposition entre arts dits nobles et productions de masse. De grands artistes comme Andy Warhol ont usĂ©, abusĂ©, de la reprographie comme vecteur de leur dĂ©marche artistique. Des poĂštes contemporains comme Brel ou Gainsbourg se sont soumis aux lois du marchĂ© et de la production musicale. Je n’opĂšre donc pas de distinction sur la forme, mais sur le fond quelle est l’origine de la dĂ©marche ? Est-elle artistique, une Ă©motion Ă  crĂ©er, un message Ă  faire passer, une rĂ©action Ă  exprimer ou l’évolution d’un courant artistique Ă  construire, dĂ©marche qui une fois créée pourra ĂȘtre le plus largement diffusĂ©e par les nouvelles technologies ? Ou la dĂ©marche est elle principalement commerciale et veut-elle diffuser quelque chose de dĂ©jĂ  existant sans renouvellement ou sans remise en question, juste pour pousser Ă  consommer ? L’influence de l’artiste sur la sociĂ©tĂ© se montre souvent pertinente et en avance sur son temps, l’artiste est un prĂ©curseur, un Ă©claireur, un visionnaire. Mais qui dit influence ne veut pas forcĂ©ment impliquer qu’elle est bĂ©nĂ©fique ou exemplaire. De grands artistes avaient, outre leur talent, des aspects sombres profondĂ©ment autodestructeurs, ou mĂȘme destructeurs tout court. On se souvient des problĂšme psychologiques de Van Gogh, des accusations de racisme qui ont poursuivi Salvador Dali, des participations de Wagner Ă  des manifestations et cĂ©rĂ©monies nazies, de la pĂ©dophilie supposĂ©e de TchaĂŻkovski, de l’alcoolisme et l’addiction Ă  de nombreuses drogues – ainsi qu’une tendance suicidaire prononcĂ©e – de bon nombre d’artistes pop & rock. Dans tous les cas, quelle que soit la couleur de la case du pavĂ© mosaĂŻque sur laquelle l’artiste se trouve, si la dĂ©marche commerciale fonctionne sur le court terme avec une logique commerciale de sortie de produit et de rentabilitĂ© immĂ©diate, l’histoire montre qu’en tous temps la dĂ©marche artistique au sens noble du terme se doit de dĂ©fendre une dĂ©marche inscrite dans le temps long, avec une Ɠuvre destinĂ©e Ă  vĂ©hiculer un message qui devra perdurer dans le temps, au delĂ  de lui mĂȘme, et porter un sens profond et universel. -Par LoĂŻc LAF. m1G1.
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